Guillaume Farley brouille les pistes, non par esprit de contradiction, mais bien plutôt par infidélité chronique aux différentes familles musicales.
Show-man depuis sa plus tendre enfance, ce sont les premières turbulences amoureuses qui motivent de longues heures passées dans sa chambre : d’autres auraient écrit des poèmes ; lui, choisit de passer ses ardeurs sur une basse électrique.
Guillaume déborde d’énergie et de rythme, ses chansons ne pouvaient en être autrement. Elles tanguent entre premier et second degré, gravité et légèreté, paillettes et charentaises.