Léonid enfile pour la première fois les chansons d’un autre et s’attache à ne rien lâcher de son identité musicale et scénique malgré la puissance et le poids du répertoire emprunté.
Léonid puise dans la mine d’or des dix premières années des chansons de Renaud. Il s’agit de tordre le répertoire en essayant de ne pas l’abîmer, de jongler avec sans le laisser tomber, en se rappelant à chaque instant de la valeur inestimable de la matière première utilisée.